COBOL n’est pas le problème. C’est tout l’écosystème autour.

Un langage simple, un environnement complexe

Le COBOL fait souvent peur. On l’imagine comme un langage antique, incompréhensible, réservé aux “dinosaure-programmeurs”.
En réalité, apprendre le COBOL n’est pas plus compliqué qu’apprendre Python : sa syntaxe est claire, presque littéraire.

Le vrai obstacle n’est pas le langage. Ce sont tous les outils et processus qui gravitent autour :

  • JCL pour soumettre les jobs,

  • IMS et DB2 pour gérer les données,

  • ISPF (le fameux écran vert) comme IDE,

  • des logiciels propriétaires comme Endeavor, coûteux et fermés.

À cela s’ajoutent des méthodes de travail restées figées : peu ou pas de Git, quasiment pas de CI/CD, déploiements manuels la nuit ou le week-end, et des armées de réunions pour orchestrer le tout.
Résultat : un fossé s’installe entre les jeunes développeurs, habitués aux environnements modernes (AWS, Azure, GitHub Actions), et le monde mainframe.


Le vrai défi : la rareté des compétences

Former un nouveau développeur COBOL ne prendrait que quelques semaines.
Mais former un développeur capable de maîtriser COBOL + JCL + IMS + ISPF + outils propriétaires, c’est une autre histoire.
Ce package est long, coûteux, et accessible uniquement à ceux qui ont un vrai accès à un mainframe — chose de plus en plus rare.

C’est pourquoi les experts mainframe partant à la retraite ne sont pas remplacés. Les banques, assurances et gouvernements se retrouvent piégés : ils dépendent d’un code qu’ils ne comprennent plus totalement, et qu’ils n’arrivent pas à maintenir au rythme des changements législatifs, réglementaires ou métiers.


Bosqweb : un raccourci et un pont

Chez Bosqweb, nous ne pensons pas que COBOL soit dépassé. Nous pensons que son écosystème doit être modernisé.

Notre plateforme offre un raccourci :
👉 Pas besoin d’un mainframe physique ni de logiciels propriétaires : il suffit d’uploader un fichier COBOL pour obtenir immédiatement :

  • Une documentation technique claire,

  • Une traduction métier lisible pour les analystes,

  • Des recommandations d’optimisation pour réduire les coûts mainframe (micro-batches, SQL set-based, offload zIIP).

Nous voulons aussi jouer le rôle de pont vers la modernité :
👉 Apporter au monde mainframe ce que GitHub, CI/CD et les linters apportent au cloud.


Un accélérateur de génération

Les jeunes développeurs savent déjà apprendre vite. Donnons-leur les bons outils.
Avec Bosqweb, le COBOL devient accessible comme Python : lisible, documenté, relié à des pratiques modernes.

Cela permet :

  • De réduire la dépendance aux rares experts COBOL,

  • De former plus rapidement une nouvelle génération de développeurs,

  • De réduire les coûts liés aux pics de consommation mainframe,

  • Et de redonner confiance aux organisations qui vivent encore sur du COBOL.


Conclusion : moderniser sans jeter

Le COBOL n’est pas un boulet. C’est un actif précieux qui fait encore tourner nos banques, nos assurances et nos gouvernements.
Le vrai problème, ce sont les outils et processus d’un autre âge.

Avec Bosqweb, nous proposons une nouvelle voie : documenter, comprendre et moderniser, sans tout réécrire.
Parce que l’avenir du mainframe ne se joue pas contre COBOL, mais avec lui — mieux outillé, mieux compris, et ouvert sur le monde moderne.

 

Envie de découvrir comment Bosqweb peut moderniser vos environnements COBOL ? Demandez une démo gratuite dès aujourd’hui.